Qu'est-ce que Dieu veut vous enseigner à travers
vos problèmes? Les problèmes auxquels vous faites face vont
contribuer à votre développement ou à votre défaite dépendamment
comment vous réagissez face à ces problèmes. Malheureusement la
plupart des gens ne voient pas comment Dieu veut utiliser les
problèmes de votre vie pour votre bien. Souvent les gens
(même Chrétiens) réagissent mal et se sentent offensés face à
leurs problèmes plutôt que de s’arrêter pour un moment et faire
une pause pour considérer quels sont les avantages qu’ils peuvent
tirer de leurs problèmes.
Voici
au moins cinq raisons bibliques pour lesquelles Dieu permet que vous
ayez des problèmes dans votre vie:
Dieu utilise des problèmes pour VOUS
DIRIGER. Parfois Dieu doit allumer
un feu sous notre niveau de confort pour nous déplacer. Les
problèmes nous pointent souvent dans une nouvelle direction et nous
motivent de considérer un changement. Est-ce que Dieu essaie
d'obtenir votre attention ? Proverbe
20.30
Dieu utilise les problèmes pour VOUS
INSPECTER. Les gens sont comme des
sacs de thé...... si vous voulez savoir ce qui est à l'intérieur
d'eux, vous avez juste à les laisser tremper dans l’eau chaude.
Est-ce que Dieu a déjà testé votre foi avec un problème?
Qu'est-ce que les problèmes révèlent à votre sujet? Jacques
1.2-4
Dieu utilise les problèmes pour VOUS
CORRIGER. Certaines leçons sont
apprises seulement à travers la douleur et l’échec. C'est
possible que comme un enfant vos parents vous aient dit de ne pas
toucher de poêle chaud. Mais vous avez appris seulement après vous
avoir brûlé. Parfois nous apprenons la valeur de quelque chose
(santé, argent, une relation) seulement après l’avoir perdu. Ps.
119.71-73
Dieu utilise parfois des problèmes pour VOUS
PROTÉGER. Un problème peut être
une bénédiction déguisée s'il vous protège de vous faire du mal
par quelque chose de plus sérieux. Genèse
50.20
Dieu utilise les problèmes pour VOUS
PERFECTIONNER. Les problèmes ont
le potentiel de bâtir votre caractère si vous le permettez. Dieu
est beaucoup plus intéressé dans votre caractère que dans votre
confort. Dieu est beaucoup plus intéressé dans votre bonne
conduite
que dans l’épaisseur de votre coussin
monétaire. Votre rapport avec Dieu
et votre caractère sont les deux seuls choses que vous allez
prendre avec vous dans l’éternité. Romains 5.3-4
CONCLUSION:
Dieu est à l’œuvre dans votre vie --- même
quand vous ne le reconnaissez pas ou ne le comprenez pas. Mais c'est
beaucoup plus facile et avantageux pour vous quand vous COOPÉREZ
avec Lui au lieu de Lui RÉSISTER.
Quand la
dépression frappe à la porte d’un chrétien : Que faire?
par Rev. Toe-Blake Roy
INTRODUCTION: "Quand
la dépression frappe à la porte d'un chrétien" Ps.119.25-32
1)
Peut-il arriver à un chrétien de perdre intérêt dans les choses
spirituelles parce celui-ci est
déprimé dans la vie ?
2)
Peut-il arriver à un chrétien d'être dans une condition
continuelle de dépression ?
Quelles
peuvent être les causes de la dépression?
Physique:
--
Une mauvaise santé.
--
Une fatigue excessive (brûlé la chandelle par les deux bouts).
--
Un problème médicale ILL:
Un problème hormonale mal balancée.
--
Une très mauvaise alimentation qui conduit à un gain important de
poids.
Spirituelle:
--
La culpabilité d'un péché non confessé qui conduit à une
attitude négative de la vie.
ILL:
Pauvre petit moi! Tout va mal dans ma vie. Je souffre de
l’injustice.
--
Le résultat du péché.
ILL:
Une jeune femme a eu un accident en motocyclette et a perdu la
jambe. Même comme chrétienne la jambe n'est pas repoussé.
ILL:
Une maladie vénérienne à cause
d'une vie de péché.
TRANSITION: Il
est fort probable que chaque chrétien devra faire face à la
dépression tôt ou tard dans sa vie chrétienne. Comment ce
Chrétien devra-t-il répondre à la dépression lorsque celle-ci
frappera continuellement à la porte de sa vie ?
Le Psalmiste dans le Psaume
119. 25-32 nous démontre comment nous
devons manier la dépression lorsque celle-ci essaie de rentrer dans
notre vie par les cracks de notre foi affaiblie.
1A.
LA CONDITION MISÉRABLE DE LA PERSONNE DÉPRIMÉ (v.25a).
1B.
Un crie de la poussière.
1C.
Votre âme se sent elle déprimée ce matin?
2C.
Les paroles du Psalmiste expriment-elles les sentiments de votre
cœur ?
3C.
La cause de votre dépression est-elle physique
ou spirituel ?
2B.
Un crie pour de l'aide.
1C.
En toute humilité le Psalmiste reconnaît l'état minable de sa
situation.
2C.
Mais c'est dans cette humilité qu'il sait à qui adressé sa
prière, (à DIEU).
2A.
LA PRIÈRE DE LA PERSONNE DÉPRIMÉE (v.25b).
1B.
Il fait appel à la bonne source (DIEU).
2B.
Ce qui est impossible à l'homme est possible à Dieu. Pourquoi un
chrétien déprimé devrait-il prier à Dieu de lui rendre la vie
selon sa parole?
1C.
À cause de la condition de l'homme. Il n'est que poussière et
conséquemment très limité, si non inapte à résoudre ce
genre de problème.
2C.
À cause de ce que l'homme de Dieu devrait être (comme Christ)
3C.
À cause de ce que l'homme de Dieu sera dans l'éternité future.
3B.
L'honnêteté du Psalmiste, (v.26a)
1C.
Je raconte mes voies. (Je t'ai tout dis Seigneur).
2C.
Tu m'exauces. (Tu as entendu le crie de ma prière).
3A.
LA PERSONNE DÉPRIMÉ A LE PRIVILÈGE D’APPRENDRE (v.26b-27).
1B.
Le Psalmiste a découvert sa propre ignorance (Enseigne-moi tes
statuts!).
2B.
La prière de l'étudiant (v.27).
J'espère que nous sommes tous de bons étudiants.
3B.
Sa passion était de communiquer les instructions qu'il avait
appris, (v.27b).
1C.
L’apprentissage est une attitude du cœur.
2C.
L’apprentissage est une responsabilité à remplir.
3C. L’apprentissage est un devoir que nous
avons tous. Avez-vous cessez d’apprendre ?
4A.
LA REQUÊTE DE LA PERSONNE DÉPRIMÉ (v.28-29).
1B.
La faiblesse de l'être humain (Mon âme pleure de chagrin).
2B.
La force de Dieu (La Parole de Dieu).
3B.
Le Psalmiste demande à Dieu d'éloigner de lui la voie du
mensonge, (v.29a).
4B.
Le Psalmiste demande à Dieu la grâce de suivre sa loi, (v.29b).
5A.
LE PASSÉ N’A PAS BESOIN DE DÉTERMINER VOTRE FUTURE (v.30-31).
1B.
Le passé (J'ai choisis).
1C.
Le meilleur choix possible a été fait.
2C. Le meilleur guide a été suivi. Le
Psalmiste avait choisit
de prendre la voie de la vérité de la Parole de Dieu.
2B.
Le futur désirable (Je place devant moi ta loi et je m'attache à
tes préceptes).
Conclusion:
Sommes-nous vite à juger les autres s’ils sont déprimés ? Seul
Dieu comprend son plan majestueux pour chacun de nous et il ne nous
appartient pas d’interpréter les circonstances des autres. Avant
de juger les circonstances des autres rappelez-vous de l’histoire
du vieil homme et de son cheval blanc.
ILL:L'histoire du vieil homme et de son
cheval blanc
Il avait une fois un vieil homme qui vivait dans
un village minuscule. Bien que pauvre, tous l'enviaient, car il
possédait un beau cheval blanc. Même le roi convoitait son trésor.
On n'avait jamais vu de cheval comme celui-là tellement sa
splendeur, sa majesté et sa force était grande. Les gens lui
offraient des prix fabuleux pour son coursier, mais le vieil homme
refusait toujours. "Ce cheval n'est pas un cheval qui
m'appartient," leur disait-il. "C'est une personne, comment
pourrais-je vendre une personne ? C'est un ami, pas une possession.
Comment pourrais-je vendre un ami ?" L'homme était pauvre et la
tentation était grande. Mais il n'a jamais vendu le cheval.
Un matin il a constaté que le cheval n'était
plus dans l'écurie. Tout le village est venu pour le voir, et pour
se moquer de lui: "Vous êtes un vieil imbécile, nous
vous avions dit que quelqu'un volerait votre cheval. Nous vous avions
avertis que vous seriez volés. Vous êtes si pauvres. Comment
pourriez-vous espérer protéger un animal d'une si grande valeur ?
Il aurait été préférable de le vendre. Vous auriez pu obtenir
n'importe quel prix pour ce cheval. Aucune somme n'aurait été trop
élevé. Maintenant le cheval est parti et vous êtes au prise avec
le malheur." Le vieil homme a répondu : " Ne parlez
pas trop rapidement. Dites seulement que le cheval n'est plus dans
l'écurie. C'est tout ce que nous savons; le reste n'est qu'un simple
jugement. Si j'ai été maudit ou pas, comment pouvez-vous le savoir
? Comment pouvez-vous juger ?" Les gens lui ont alors résisté
en disant: " Ne nous prenons pas pour des imbéciles! Nous ne
sommes pas des philosophes, mais la philosophie n'est pas nécessaire.
Le fait est simple, votre cheval étant parti vous faites face à une
malédiction." Le vieil homme parla de nouveau et dit: "Tout
ce que je sais est que l'écurie est vide et le cheval est parti. Le
reste, je ne sais pas. Si c'est une malédiction ou une bénédiction,
je ne peux pas le dire. Tout ce que nous pouvons voir n'est qu'un
fragment. Qui peut dire ce qui viendra ensuite?" Les gens
du village se sont mis à rire. Ils pensaient que l'homme était fou.
Ils pensaient toujours qu'il était un imbécile; s'il ne l'était
pas, il aurait vendu le
cheval et vécu confortablement avec
l'argent. Mais au lieu de cela, il était un pauvre bûcheron, un
vieil homme coupant toujours du bois de chauffage, le traînant hors
de la forêt pour pouvoir le vendre, vivant pendant des mois dans la
misère et la pauvreté. Maintenant il avait prouvé qu'il était en
effet un imbécile.
Quinze jours plus tard le cheval est retourné à
l'écurie. Il n'avait pas été volé, il était parti courir dans la
forêt. Non seulement il était revenu, mais il avait apporté une
douzaine de chevaux sauvages avec lui. De nouveau les gens du village
se sont réunis autour du bûcheron et lui ont dit: " Vieil
homme, vous aviez raison et nous avions tort. Nous avions pensé que
c'était une malédiction, mais en fait il s'agissait d'une
bénédiction. Pardonnez-nous s'il vous plaît." L'homme leur
a répondu: " De nouveau vous concluez trop rapidement.
Dites seulement que le cheval est de retour et qu'une douzaine de
chevaux sont venue avec lui, mais ne juger pas. Comment savez-vous si
c'est une bénédiction ou non ? Vous voyez seulement un fragment. À
moins que vous ne connaissiez l'histoire dans son entier, comment
pouvez-vous juger ? Vous lisez seulement une page d'un livre.
Pouvez-vous juger le livre entier ? Vous lisez seulement un mot d'une
expression. Pouvez-vous comprendre l'expression entière? La Vie est
si vaste, et cependant vous portez un jugement sur l'ensemble de la
vie avec une page ou un mot. Tout ce que vous avez n'est qu'un
fragment! Ne dites pas que c'est une bénédiction. Personne ne sait.
Je suis content avec ce que je sais. Je ne suis pas perturbé par ce
que je ne sais pas." "Peut-être le vieil homme
a-t-il raison," se sont-ils dits. Donc ils n'ont rien rajouté.
Mais au fond d'eux-mêmes, ils savaient qu'il avait tort. Ils
savaient que c'était une bénédiction. Douze chevaux sauvages
étaient retournés avec un cheval. Avec un peu de travail, les
animaux pourraient être dressés et vendus pour beaucoup d'argent.
Le vieil homme avait un fils, un fils unique.
Alors celui-ci a commencé à dresser les chevaux sauvages. Après
quelques jours, il est tombé de l'un des chevaux et s'est cassé les
deux jambes. De nouveau les villageois se sont réunis autour du
vieil homme et ont porté leurs jugements. "Vous aviez
raison," lui ont-ils dit. "Vous avez prouvé que vous aviez
raison. La douzaine de chevaux n'était pas une bénédiction. Ils
étaient une malédiction. Votre fils unique s'est cassé les jambes
et maintenant dans votre vieillesse vous n'avez personne pour vous
aider. Maintenant vous êtes plus pauvres que jamais." Le
vieil homme leur a parlé de nouveau. "Vous êtes obsédé par
l'esprit de jugement. N'allez pas si rapidement. Dites seulement que
mon fils s'est cassé les jambes. Qui peut dire si c'est une
bénédiction ou une malédiction ? Personne ne le sait. Nous avons
seulement un fragment. La vie nous vient par fragments."
Il arriva que quelques semaines plus tard que le
pays était engagé dans une guerre contre un pays voisin. On a exigé
l'enrôlement de tous les jeunes hommes du village pour
joindre l'armée. Seulement le fils du vieil homme en a été
exclu, parce qu'il était blessé. De nouveau les gens se sont réunis
autour du vieil homme, criant leur douleur parce que leurs fils
avaient été pris. Il y avait peu de chance qu'ils reviendraient un
jour. L'ennemi était puissant et la guerre semblait perdu d’avance.
Ils ne reverraient jamais leurs fils. "Vous aviez raison, vieil
homme," lui ont-ils dit en pleurant. " Dieu sait que vous
aviez raison. La preuve est que l'accident de votre fils était une
bénédiction. Ses jambes sont peut-être cassé, mais au moins
il est avec vous. Nos fils sont partis pour toujours." Le
vieil homme leur a alors dit: " Il est impossible de parler avec
vous. Vous tirez toujours des jugements comme conclusions. Personne
ne sait. Dites seulement: Nos fils ont dû aller à la guerre et le
mien n'y est pas aller. Personne ne sait si c'est une bénédiction
ou une malédiction. Personne n'est assez sage pour savoir. Dieu seul
le sait."
Réjean Demers : Pasteur - Église
Baptiste Évangélique de Repentigny
Psaume
119.25--
Mon âme est attachée
à la poussière (découragé).
Psaume
119. 31--
Je m'attache
à tes préceptes (encouragé).